Nous attirons l’attention des pouvoirs publics et du gouvernement sur la nécessité de créer plus d’opportunité d’emplois afin de maintenir les jeunes sur place par les séminaires et autres interventions dans les masses médias.
Dans les établissements scolaires et universitaires sur l’ensemble du territoire national, nous créons les clubs de lutte contre l’émigration clandestine (CLCC), car c’est dans les milieux jeunes que se recrutent les éventuels migrants illégaux. Nous allons également dans tous les grands milieux sur l’ensemble du territoire national (Eglise, marché, championnat de vacances, semaine culturelle, festival, Etc…). Les clubs dans les établissements scolaires et universitaires nous permettent d’organiser un certain nombre d’activités : kermesses, causeries éducatives, expositions photos des migrants illégaux, soirées récréatives, projections des films documentaires sur l’émigration clandestine, témoignages poignants des rapatriés, etc…
Nous organisons également des conférences-débats, des journées de réflexion sur l’émigration clandestine, des débats interactifs radio – télé, presse écrite. Nous allons dans d’autres milieux cités ci-dessus négocier auprès des responsables respectifs, mener les mêmes activités pour atteindre le plus grand nombre.
Nous conseillons aux éventuels migrants de s’assurer qu’ils remplissent toutes les conditions requises d’un voyage légal pour éviter tout désagrément, sinon prendre l’argent du voyage et investir dans un projet du développement local (agriculture, élevage, restauration, Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication NTIC, les services, etc…).
Nos actions vont également dans le sens de la formation des jeunes pour créer des emplois. En outre, nous œuvrons à l’insertion et la réinsertion en créant des plantations (bananiers plantains, cacao, palmier à huile, arachide, manioc, igname, tomate, etc…), et les centres de formation (menuiserie, maçonnerie, informatique, élevage, pisciculture, couture, etc…) afin d’éviter d’autres tentatives qui pourraient leur coûter la vie car l’Afrique doit se développer par les africains eux-mêmes.